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Aides sociales des emplois : frein ou levier face à la pauvreté ?

9 avril 2011

Entretien avec la conseillère

Entretien avec la conseillère - Résumé

Nous avons fait un entretien avec une conseillère. L'entretien a été enregistré mais le fichier est trop lourd pour pouvoir être publié (max 1 MO et le fichier en WAV pèse plus de 64 MO).Nous cherchions d'abord une assistante sociale, mais ils ne travaillent maintenant que sur l'insertion d'une point de vue social. Nous avons donc fait l'entretien avec des questions préparées et postées sur le blog, dont je n'ai pas repris toutes les réponses. Elles sont été transmissent sur le blog.

La conseillère travaille sur le RSA et sur les différents niveaux :

Le RSA "socle" : il regroupe l'ancien RMI et l'API et est financé par le département.

Le montant moyenne pour une personne seule est d'environ 410 €/mois

Le RSA "activité" : elle permet de compléter les revenus faibles.

Le RSA "jeune" : mis en place fin septembre 2010, elle marche peu, environ quelques dossiers par mois en Mayenne, car il faut avoir travailler 2 ans pleins durant les 3 dernières années. Si une personne a à sa charge un un enfant, elle est considérer comme adulte.

Si l'individu a un travail à temps plein au smic, le RSA est d'environ 40€/mois.

Nous avons parlé de la mission locale, qui est l'AMPE pour les jeunes.

Le RSA est versé par la CAF ou la MSA. On est convoqué pour une journée RSA au Conseil Général, le matin il y a une présentation de RSA, puis les personnes sont suivies individuellement par une conseillère pour voir s'il faut les diriger soit vers la résolution des problème sociaux  avec les assistantse sociales, soit vers la formation ou l'emploi, avec le pôle emploi. Les personnes déclarent ensuite leurs ressources tous les 3 mois pour recalculer les montants du RSA. Les conseillés règlent d'abors les problèmes sociaux, problèmes de santés, logements... , puis professionnel, avec l'aide au permis, l'achat d'une voiture (si le projet professionnel est validé par le Conseil Général. Tous les 3 ou 6 mois, ils voient si les objectifs fixés on été atteint, si non pourquoi ?

Si les personnes n'adhère pas, elles peuvent être convoquées par une commision au conseil Général qui peut décider de suspendre le RSA, mais c'est rare.

Il y a aussi les autres aides : APL, les allocations familiales. Si l'entretien d'embauche est trop loin, il peut y avoir des aides financières si on est inscrit au pôle emploi et que l'on apporte des preuves.

La conseillère travaille aussi avec un groupe de jeune pour faire le bilan des formations, la construction de projet professionnel, la vie quotidienne (logement, santé, mobilité, budget (endettement avec portables par exemple)), recherche de stages, relations avec les entreprises.

Au pôle emploi, ils ont 15 minutes pour voir une personne et cette dernière peut les envoyer voir des prestations extérieurs s'ils sont vraiments perdus.

Dans les aides, il y a aussi le financement de formations comme le lycée qui est financé par la région.

Rédigé par V.B

Révisé par H.R

 

 

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2 avril 2011

Synthèse

Synthèse

            Temps partiel, intérim, chômage,... Comme le montre le document "La pauvreté en France", il y a environ 8 millions de pauvres en France. Le document « Protection sociale : où va-t-on ? » montre que la France est le pays qui a le plus fort sentiment d'insécurité sociale en Europe, mais qui possède aussi une dépense sociale supérieure à 4 points à la moyenne européenne. Les aides sont multiples et diverse. En 2009, le RSA est entrée en vigueur regroupant le RMI et l'API, l'allocation de parent isolé. Sa nouveauté est notamment de garder une partie des aides lorsque la personne retrouve un emploi. Mais les aides de l'emploi : est-ce un frein ou un levier face à la pauvreté ? Nous verrons que les aides peuvent être certes un levier, mais aussi un frein pour la pauvreté.

            Il y a plusieurs façon d'être pauvre, soit l'individu n'a pas d'emploi (dans ce cas sa préoccupation est d'en trouver un), soit il a un emploi précaire, un temps partiel, dont les revenus sont en dessous du seuil de pauvreté. Il y a d'après le document "La pauvreté en France" deux seuils de pauvreté existe,(selon la définition prise) soit 791 €/mois, soit 949 €/mois. Les aides ont été créé pour diminuer le pauvreté. L'aide la plus importante est le RSA. Elle apporte une aide financière pour les personnes sans emplois et complète les revenus trop faibles. Avec le RMI, certaines personnes reprenant une activité pouvait perdre de l'argent. Avec le RSA, elles reçoivent toujours une partie de l'aide selon les ressources.

            Nous avons vue lors de l'entretien avec une conseillère que les personnes sont suivi personnellement par ces conseillés du Conseil Général qui les orientent, soit vers le social pour régler les problèmes de santé, de logements,... , soit vers la formation ou soit vers l'emploi avec l'aide du pôle emploi. Le RSA est recalculé tous les 3 mois avec la déclaration des ressources et les personnes ont des objectifs a atteindre. Si cet objectif n'est pas atteint, ils voient pour quelles raisons il n'a pas été abouti. Le département peut aussi aider avec le financement du permis, d'une voiture, pour un entretien d'embauche lointain. Il ne faut pas oublier les aides au logement, les allocations familiales, les allocations chômage pour aider les personnes à subvenir à leurs besoins. Le RSA aide donc a trouvé un emploi, ce qui permet d'avancer et faire des projets sur les longs thermes. Les conseillers et le pôle emploi donnent aussi des adresses d'entreprises, des offres, etc. ... De plus, l'Etat aide pour la formation des personnes avec le financement des lycées par la région, avec les formations adultes.

Le RSA ne permet pas de cotisé pour la retraite, et il est trop faible pour que les personnes puissent s'en contenté, ce qui les poussent à chercher un emploi.

 

             L'article « Le revenu de solidarité active, plus que jamais » montre que les difficultés rencontrées pour trouver un travail ne sont pas toujours de l'ordre financière mais aussi pour la garde d'enfant, la mobilité, la formation, de la santé. Il y a donc des aides pour la mobilité et les formations mais la garde des enfants doit encore se développé.

             Le RSA aide donc les personnes à retrouver un emploi. Cependant le RSA moyen pour une personne seule sans enfant est d'environ 410 €/mois. Bien que cela aide financièrement, les personnes sont toujours en dessous du seuil de pauvreté et restent donc pauvres.

            Beaucoup reproche aussi au RSA d'augmenter le travail à temps partiel, comme le dit le document « Pour ou contre le RSA ? Serge Paugam sociologue Directeur d'études à l'Ecole des Hautes Études en sciences sociales » et « Le revenu de solidarité active, plus que jamais ». Les personnes travaillent à temps partiel pour percevoir l'aide ou des entreprises développent ces emplois car de toute manière les personnes reçoivent l'aide.

            Le RSA ne permet pas de lutter contre la pauvreté en général car les plus touchés, les jeunes et les retraités en sont exclus. Il y a un RSA jeune (- 25 ans), mis en place fin septembre 2010, qui marche peu car il faut avoir travaillé 2 ans dans les trois dernières années, ce qui est peu le cas. Si on a moins de 25 ans mais qu'on a la charge d'un enfant, on est considéré adulte.

            Enfin, lorsqu'on peut trouver un emploi, encore faut-il qu'il n'y en ait de disponible, des personnes peuvent être découragé par le manque d'offre.

            D'après l'article "Protection sociale où va-t-on ?" écrit par Guillemard Anne-Marie, les aides ont été créé après la guerre pour dynamiser la croissance économique et le plein emploi dans les sociétés industrielles. Aujourd'hui, la société a changé, avec l'arrêt de travailler voulu ou non, la population qui vieillit, la France a de plus en plus de mal à financer ces aides et on va vers une transformation de ces aides.

 

            Comme le dit Martin Hirsch, le créateur du RSA, « Le RSA ne résout pas tous mais ne rien faire ne résout rien ». Les aides permettent de soutenir les personnes dans une mauvaise passe. Le RSA n'est pas une solution miracle, elle permet d'aider les personnes à trouver un emploi, mais l'offre peut être insuffisante. Les aides permettent de survivre mais pas de vivre. Nous avions au départ des opinions très différentes, cette étude nous a permis de nous informer et de nous mettre d'accord.

Rédigé par V.B

Réviser par H.R

 

2 avril 2011

Plan détaillé

Introduction

Thème : " L'argent, valeur d'échange, valeur d'usage "

Problématique : " Les aides à l'emploi : frein ou levier? "

I - Présentation des aides : législation

II - Levier ?

=> aide pour trouver un emploi, financier, suivi de personnes

=> diminuer la précarité, les inégalités.

III - Frein ?

=> manque d'offre et aides décourage les individus à chercher un emploi.

=> Développement des emploi partiel/CDD, par rapport à un emploi de qualité, CDI.

=> même avec les aides on reste pauvre,

 

V.B

Révisé par H.R


26 mars 2011

Questionnaire pour conseillère

Questionnaire
Les aides sociales

01°) Depuis combien de temps exercez-vous le métier de conseillère ?

J'exerce mon métier depuis 1990. Cela fait 21 ans que je travaille dans l'insertion sociale. Actuellement, je travaille dans le service formation dans une association.


02°) Quels sont les études que vous avez réalisés pour faire ce métier ?

 J'ai fais un BTS ESF (Bac+3).


03°) Quel est votre parcours professionnel ?

J'ai travaillé dans une préfecture tout au début. J'ai arrêté avant de travailler au niveau de la CAF avec un centre public handicapé. Maintenant, je suis conseillère et je travaille avec un groupe de jeunes pour faire le bilan des informations et construire avec eux un projet professionnel.


04°) Pourquoi avez-vous choisi d'être conseillère ?

Si j'ai voulu être conseillère, c'est parce que je souhaitais rechercher le contact humain.


05°) En quoi consiste votre travail ? Par exemple, pouvez-vous nous décrire une journée type ? Avec quel  public travaillez-vous ?

Je n'ai pas de journée type. J'accompagne individuellement les personnes dans le but de construire des projets professionnels. Je suis en relation avec des organismes de santé, des entreprises, etc ... Il y a un entretien de toute les associations ou centres ou aides qui permettent d'accompagner les personnes en difficulté.


06°) Avez-vous eu l'occasion de travailler avec des partenaires (éducation, etc ...) ?

Oui, j'ai eu l'occasion de travailler avec des associations, des entreprises ou des organismes de santé et c'est toujours le cas.

 

07°) Quelles sont les aides sociales qui existent aujourd'hui ?

Il existe divers aides sociales comme le RSA, l'aide au permis, les aides financières pour le transport, les aides au logement, etc ... Bien entendu, il en existe encore beaucoup d'autres.


08°) Quelles sont les aides sociales les plus demandées ?

Les aides sociales les plus demandées sont l'APL, l'allocation logement, le RSA et les indemnités pour les formations.

 

10°) Avez-vous constaté une évolution de votre métier ?

Au niveau de mon travail, les exigences sont de plus en plus élevées. Il faut savoir s'adapter et avoir une certaine flexibilité (la parole par exemple dans le contact avec la personne).

Au niveau de la société, on peu remarquer qu'il y a de plus en plus de jeunes surendettés, ce qui pose un réel problème à l'heure actuelle car il risque d' y en avoir beaucoup plus dans les années à venir.


 09°) Les publics sont-ils toujours les mêmes ?

Les jeunes sont suivis jusqu'à la veille de leur 26 ans. Ce sont des adultes de plus de 26 ans qui demandent des aides sociales comme le RSA. Ils doivent faire leur demande au Conseil Général pour pouvoir en bénéficier. La personne est convoquée à une journée RSA. Le matin, ils présentent le RSA puis les personnes sont conseillées individuellement. Les personnes sont soit dirigées vers le social, elles rencontrent donc une assistante sociale. Sinon, elles sont dirigées vers le pôle emploi et rencontrent un professionnel. Les personnes doivent déclarer tout les 3 mois leurs ressources afin de recalculer les montants du RSA.


11°) Peut-on avoir des aides permettant de vivre comme une personne vivant avec un salaire ?

Oui, le RSA permet aux personnes âgées de plus de 25 ans de compléter leurs revenus pour pouvoir subvenir à leurs besoins.

 

12°) Est-ce que les aides perçus par l'Etat finissent-elles par diminuer ?

Elles ne diminuent que si la personne n'a pas de volonté pour chercher un emploi. Les aides sont temporaires et ne servent qu'à relancer la personne sur le droit chemin.

Les conseillés règlent d'abord les problèmes sociaux, les problèmes de santé, logement ..., puis professionnel, l'aide au permis, puis pour l'achat d'une voiture (si projet professionnel validé par le 1er conseil). Tous les 3-6 mois, le personnel regarde s'il est validé et si ce n'est pas le cas, pour quelles raisons. Si les personnes n'adhérent pas, elles sont convoquées par une comission du conseil qui peut suspendre le RSA.

 

13°) Pourquoi y a t-il de plus en plus de personnes qui se tournent vers les restos du coeurs ? Qu'en pensez-vous ?

Tout d'abord, il y a de plus en plus de monde et ensuite, les revenus sont parfois insuffisants pour subvenir aux besoins (logement trop chères, factures salées etc ...).

 

14°) Quel était votre point de vue avant que vous exerciez votre métier de conseillère ? Et maintenant ?

Pour moi, les aides sont nécessaires car elles remplissent les besoins des personnes.


H.R


 

24 mars 2011

Vocabulaire

Vocabulaire

Aide sociale : Système de solidarité publique obligatoire, financé par l'impôt. Ensemble des aides apportées par les collectivités publiques en vertu des dispositions légales aux personnes qui ne peuvent pas promouvoir à leur entretien ou aux soins qu'exige leur état.

Assistante sociale : Personne qui vient en aide à des individus, des familles ou des groupes en difficulté afin de favoriser leur bien-être, leur insertion sociale et leur autonomie.

Charges sociales : Prélèvements obligatoires, indexés sur les salaires, permettant de financer des prestations sociales.

Emploi : activité professionnelle, un travail qui reçoit, en contrepartie, une rémunération.

État providence : conception de l'Etat où celui-ci étend son champ d'intervention et de régulation dans les domaines économiques et sociaux. Elle se traduit par un ensemble de mesures ayant pour but de redistribuer les richesses et de prendre en charge différents risques sociaux comme la maladie, l'indigence, la vieillesse, l'emploi, la famille...

Exclusion sociale : marginalisation, la mise à l'écart d'une personne ou d'un groupe en raison d'un trop grand éloignement avec le mode de vie dominant dans la société. Ce processus peut être volontaire ou subi.

Intégration sociale : processus ethnologique qui permet à une personne ou à un groupe de personnes de se rapprocher et de devenir membre d'un autre groupe plus vaste par l'adoption de ses valeurs et des normesde son système social.

Martin Hirsch : Homme politique et fondateur du RSA en France en 2009.

Pauvreté : Etat d'une personne ou d'une chose pauvre.

Précarité : l'absence des conditions et des sécurités permettant à une personne, à une famille, à un groupe, d'assumer pleinement leurs responsabilités et de bénéficier de leurs droits fondamentaux.

RMI (Revenu Minimum d'Insertion) : allocation créée en décembre 1988, constituant un minimum social, gérée par les Conseils généraux et versée par les caisses d'allocations familiales ou la mutualité sociale agricole.

RSA (Revenu de Solidarité Active) : allocation qui se substituera aux allocations minimum existantes comme le RMI ou l'API. Il a été mis en place le 1er Juin 2009 dans toute la France.

H.R

Bismarckien (système) : C'est un système de solidarité professionnelle face aux risques sociaux. La protection sociale dans ce régime présente 5 caractéristiques. Elle est :

  • limitée exclusivement à ceux qui s'ouvrent des droits à prestation par leur travail ;
  • obligatoire uniquement pour les travailleurs dont les revenus sont inférieurs à un plafond ;
  • financée par des cotisations sociales proportionnelles aux salaires ;
  • fondée sur le principe de proportionnalités entre cotisations et prestations ;
  • gérée de façon paritaire par les employeurs et les salariés.

V.B


 

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24 février 2011

Lesgislation relative aux aides sociales (RSA)

http://www.aides-etat.com/

Le RSA remplace:

- le revenu minimum d'insertion

- l'allocation pour parent isolé

- les primes d'intéressement au retour à l'emploi.

Qui peut en bénéficié:(pour savoir si vous pouvez en bénéficié: www.rsa.gouv.fr)

- Les salariés avec un salaire inférieur ou égal à 817€ par mois (pour une personne seul).

- Les personnes sans activités mais qui recherche du travail via un service public de l'emploi.

Les démarches:

- Salariés à faible revenus: transmetre votre dossier par courrier ou le déposés à la Caisse d'allocations familiale ou la Mutualité Sociale agricole.

G.M.


 

15 février 2011

Les conditions et les montants pour le RSA

Les conditions :

- plus de 25 ans ou moins mais avec un enfant à charge ou à naître.

- moins de 25 ans sans enfant si vous avez travailler 2 ans à temps plein durant les 3 dernières années.

Les ressources et les prestations familliales comprises ne doivent pas, sauf exeption, dépasser un certain montant.

Les montants : ( valable du 01/11/11 jusqu'au 31/12/11 )

Elle vise a assurer un montant minimum par mois.

Rsa = (Montant forfaitaire +62% des revenus d’activité du foyer) – (Ressources du foyer + Forfait d’aide au logement)

Montant forfaitaire : il est déterminé en fonction de la composition de votre foyer. Ce montant peut être majoré durant une période limitée si on est isolé avec au moins un enfant à charge ou enceinte.

 
Montants Forfaitaires
Nombre d’enfant(s)Vous vivez seul(e)*Vous vivez en couple
0 466,99 € 700,49 €
1 700,49 € 840,59 €
2 840,59 € 980,69 €
par enfant en plus 186,80 € 186,80 €

* Ces montants peuvent être majorés, sous certaines conditions, pour les personnes seules assumant la charge d’un enfant né ou à naître.

Revenus d’activité du foyer : moyenne mensuelle de l’intégralité des revenus d’activité ou assimilés perçue par l’ensemble des membres du foyer sur le trimestre précédent (salaires, revenus de stage de formation, revenus d’une activité indépendante…).

Ressources du foyer : moyenne mensuelle des ressources du foyer perçues sur le trimestre précédent (revenus d’activité, pensions alimentaires, rentes, indemnités de chômage…) et certaines prestations familiales perçues le mois d’examen du droit (allocations familiales…).

Forfait d’aide au logement : les aides au logement sont prises en compte de façon forfaitaire. Si vous recevez une aide au logement, ou si vous n'avez pas ou plus de charges de logement, votre Rsa sera réduit d'un montant forfaitaire de :

  • 56,04 € pour une personne seule
  • 112,08 € pour 2 personnes
  • 138,70 € pour 3 personnes ou plus

Le Rsa n’est pas versé si son montant est inférieur à 6 €.

 

source :  CAF.fr [en ligne]. [consulté le 7/04/11] Revenu de solidarité active (RSA). disponible sur : http://www.caf.fr/wps/portal/!ut/p/c1/04_SB8K8xLLM9MSSzPy8xBz9CP0os3hLf2dfY0cn35AAU2MzAyNTL7egMLdAYwNDE6B8JJK8YYifI1De09nCyMTUyCDQlIDucJB9ZvEGOICjAUQej_l-Hvm5qfoFuREGWSaOigAnDosH/dl2/d1/L3dJVkEvd0RNQUJrQUVnQSEhL1lCcHhKRnchLzZfNU1MOUkwUlVWMVFMMTBJMFM1R0FHMzEwMDAvM185T0NNM0FCTVRQTEM3MDI1S1E2NkZBMjA4MQ!!/

V.B


 

1 février 2011

Fiche document

Titre : " Le revenu de solidarité active, plus que jamais "
Édition : Problèmes économiques
Date
: Mercredi 24 Décembre 2008

Critique du document :

Cet article est fiable puisque c'est un document de référence, disponible pour tous. De plus, il est écrit par Martin Hirsch, le haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté, créateur du RSA, ce qui montre qu'il est davantage plus fiable.  Il répond aux questions, aux critiques qu'on avait avant son lancement en juillet 2009.

L'article est paru dans la revue " Problèmes Economiques " dont un des objectifs est de rendre compte des questions, des débats soulevés par l'actualité et qui concernent l'aide sociale : le RSA. C'est bien là tout l'intérêt de ce texte qui est divisé en plusieurs sous-parties (première critiques ..., deuxième critique ..., sixième critique ..., etc ...) afin de présenter l'aide sociale en terme générale, et de répondre aux critiques. L'article est un droit de réponse du site "La vie des idées", il n'est pas reproduit dans son intégralité.

Paru en 2008, cet article a encore tout intérêt puisque cette aide sociale a été mise en place il y a deux ans et est toujours d'actualité.

Résumé du document :

Ce document est un article écrit par le créateur du RSA, Martin Hirsch. Il apporte six critiques vis à vis de cette aide sociale et apporte une réponse à ces 6 critiques :

Le RSA traiterait un probème inexistant, le fait que certain bénéficiaires perdent de l'argent n'est pas un problème car les bénéficiaires ont plus de difficulté avec la garde d'enfants, la mobilité avant la question financière pour trouver du travail, mais il n'est pas juste qu'une personne travaillant gagne moins qu'avec le RSA.

Le problème donc aussi l'accompagnement vers l'emploi, il y a un lien très distendu avec le service public de l'emploi qui doit être améliorer, ainsi que les formations professionnelles et enfin la garde d'enfant qui est essentielle.

Pour réduire le nombre de travailleur pauvre, mieux vaut augmenter les salaires que créer le RSA. Il faut bien entendu favoriser l'augmentation des salaires, mais ce n'est pas pour cela qu'il faut abandonné le RSA qui fonctionne comme le prime pour l'emploi (PPE), mais dont seulement la moitié de travailleur pauvre touche, ou les aides au logement où l'on va aussi tenté de baisser les loyers.

La crainte d'une augmentation du temps partiel est aussi soulignée, que les personnes les prennent pour avoir l'aide ou que les employés le développe car de toute manière les personnes sont aidés. Le RSA ne favorise pas directement le temps partiel, il est versé directement aux bénéficiaires. Le temps partiel doit être défavorisé avec d'autres mesures.

Le RSA serait une nouvelle relégation pour ceux qui ne veulent pas travailler, idée qui a été rejetée à l'unanimité par les acteurs du Grenelle de l'insertion. Les personnes gagnent plus avec le RSA lorqu'ils travaillent, ce qui les insistent à reprendre une activité. Le suivis des individus qui est saturé pourra mieux se faire et ils pourront aider les personnes qui ne sont pas suffisamment suivis.

Il vaut mieux augmenter le RMI. Ils préfèrent transformer le RMI en RSA ce qui permet de bien voir l'augmentation des ressources et facilité l'accès au travail. Contrairement à ce qu'on paut dire, le RSA n'a pas pour conséquence d'augmenter l'écart entre le minimum social et le salaire minimum. Le RSA est un chemin entre les deux pur pouvoir mieux augmenté les montants sans perdre de ressources.

Le RSA ne résout pas tous mais ne rien faire ne résout rien. Le problème est aussi le manque d'emploi et le sous-emploi. La politique allègent les charges pour développerl'offre du travail peu qualifierpour lequel le smic n'est pas rentable pour les entreprises. Cela a crée rentre 300 000 et 500 000 emploi pour 20 milliards d'Euros, significatif mais cher. Le RSA a le même effet, elle crée un écart entre le revenue réel et le coût pour les entreprises, il permet de distribuer d'avantage.

 Puis pour finir, cet article illustre le RSA par le biais de cinq convictions fortes, tous le monde peu être touché par la pauvreté, il ne faut plus distingué les pauvres indemnisé et les travailleurs que l'on incite à travaillé plus. L'augmentation du SMIC ne suffit pas face à l'augmentation de travailleurs pauvres. La sécurisation des parcouts professionel doit s'appuyer sur un changement des règles des contrats et amener de nouvelle formes d'incitation. Les salariés seront plus productif au travail que si on les laisserait en dehors du marché, même si ils ne produisent pas beaucoup de richesse.


Pour consulter cet article au CDI : HIRSCH, Martin. Le revenu de solidarité active. Problèmes économiques, 24 Décembre 2008, p3-9.

H.R et V.B

 


Titre : "La pauvreté en France".

Editeur : Observatoire des inégalités

Date : 28 septembre 2010

critique du document :

C'est un article du site Observatoire des inégalité. Il n'y a pas d'auteur mais il est repris du site de l'Insee, qui est fiable car c'est un Institut de recherche indépendant, qui a publié ces chiffres. L'article est neutre, il apporte les chiffre et les expliques, il est disponible pour tous. L'article est publié en septembre 2010, ce qui est récent. L'article est donc fiable.

Résumé du document :

La France compte entre 4,3 et 7,8 millions de pauvres selon la définition adoptée, soit le seuil à 50 %, en 2008, le seuil de pauvreté pour une personne seule est de 791 euros mensuels, soit le seuil de 60 % du niveau de vie médian, ce qui représente 949 euros mensuels. Depuis la fin des années 1990, la baisse de la pauvreté est interrompue. Le taux de pauvreté va de 7,1 à 13,2%.

Observatoire des inégalités [en ligne]. 28 sept 2010. [date de consultation : 09/12/2010]. La pauvreté en France. Disponible sur : http://www.inegalites.fr/spip.php?article270

V.B

 


Titre : "Pour ou contre le RSA ? Serge Paugam sociologue Directeur d’études à l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociale."

Edition : C.I. conseil

Date : ? dernières brèves d'actualité

Critique du document :

L'article est un entretient avec Serge Paugam, qui est sociologue Directeur d'études à l'École des Hautes Études en Sciences. C'est donc un professionnel qui travaille sur le thème. Il répond a trois question sur l'efficassité du RSA. Il donne son avis, étant un professionel il peut être fiable mais les arguments doivent être approfondi. De plus l'article n'est pas daté, on ne sait donc pas si l'entretient c'est effectuer avant ou après la mise en place du RSA.

Résumé du document:

Le RSA est-il, selon vous, vraiment efficace pour ramenerversl'emploi des bénéficiaires de minima sociaux ? Il n'y a pas d'effet significatif sur le retour à l'emploi mais il n'y a pas de raison à être opposé "à toute politique d’activation des dépenses sociales." Il y a deux approches possibles, soit on accompagne les personnes pour une formation vers un emploi de qualité, soit on les incites financièrement pour qu'ils entrent dans tous types d'empoi, ce qui pourrais institutionnalisé les emploi à temps partiel et les CDD.

Les complément de ressources apporté aux travailleurs à bas salaire peut-il les soustraires à la pauvreté ? Il permettra de rester au dessus du seuil de pauvreté, mais ils serront nombreux à rester dans "précarité et le sous-emploi". Il resteront donc dépendant des aides.

Les allocataires de minima sociaux sans activité devront effectuer des démarches pour revenir sur le marché du travail ou améliorer leur insertion sociale. Qu'en pensez-vous? Les exigences par rapport au RMI où cela existait déjà sont renforcé mais encore faut-il avoir les moyens humains et opportunité d"emploi.

 Pour ou contre le RSA ? Serge Paugam sociologue Directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociale. ciconseil.fr [en ligne] [consulté le 12/02/2011].Disponible sur : http://www.ciconseil.fr/pour-ou-contre-le-rsa-3

V.B

 


Titre : " Le revenu de solidarité active entre en vigueur "

Édition : Ouest-France

Date : 01/06/09

Critique du document :

Ce document est tiré d'un journal fiable, le Ouest-France et écrit par VERCELLETO François, un journaliste. Il est d'autant plus fiable par la présence d'un schéma indiquant le revenu de solidarité active (RMI). A première vue, il est structuré et est basé sur le type "questions-réponses".

Résumé du document :

Ce document est un article du Ouest-France. Il parle du renouvellement du RMI qui a été effectué le 1er Juin 2009 et montre les nouvelles caractéristiques de cette nouvelle aide sociale ( les bénéficiaires, comment elle fonctionne, quelles sont les démarches, les dispositifs concernés, le coût, les objectifs du RSA, etc ...).

Pour consulter cet article (archive au CDI) : VERCELLETO, François. Le revenu de solidarité active entre en vigueur. Ouest-France, 01/06/09, p 4.

H.R

 


Titre : "Protection sociale : où va-t-on?"

Edition : Les Grands Dossiers des Sciences Humaines

Date : Mars-Avril-Mai 2010

Critique du document :

C'est un article des Sciences Humaines, qui est fiable. L'auteur est Anne-Marie Guillemard, c'est un professeur de sociologie à l'université Paris-V. Elle a récemment dirigé l'ouvrave "Où va la protection sociale ?", en 2008. Elle connais donc le sujet et son article est plutôt neutre.

Résumé du document :

Les Français ont un fort sentiment d'insécurité sociale, en 2006, 86% pensent qu'il peut arriver à n'importe qui de tomber dans la pauvreté, contre 62% en moyenne en Europe, et 13% pensent qu'il peuvent devenir un jour sans abris, contre 8% des Britanniques, 1 ou 2% des Danois, Néerlandais, Allemand.

Va-t-on vers une conception de type libéral ou assiste-t-on à une transformation de la protection sociale pour s'adapté ? Les réformes vont vers une protection de plus en plus libéral, mais reste généreuse avec des dépenses supérieure de 4 points à la moyenne Européenne. (31.2% du PIB contre 27.3%) Il y a un certain désengagement de l'Etat notamment pour la santé avec le déremboursement de certain médicament et l'importance accordé par les assurances complémentaires, mais les politiques d'assistances et les minima sociaux ont pris une nouvelle importance.

Les systèmes de protection sociale ont été bâtis après guerre afin de dynamiser la croissance économique et le plein emploi dans une société largement industrielle. A partir des années 70, les dépenses sociales ont commencer à augmenteràunrythme supérieur à la croissance ralentie. Cette "crise de l'Etat providence" a lancé des interrogations sur la légitimité des dépenses sociales et l'efficacitédu rôle de l'Etat dans la redistribution des ressources. Le système de protection sociale s'est donc transformé en 1990 avec des réformes. Maintenant, la société vieillit et que les condition du salariat se transforme. Avant en 3 temps, éducation pour la jeunesse, le travail continu à l'âge continu et la retraite pour la vieillesse, il y a maintenant toute sorte de statu (CDD, intérim, ...) qui ont des formes plus instable, souvent précaire, et l'emploi est entrecoupé de période de formation et d'inactivité choisi (congés parentales,...) ou non (chômage). Les pays ayant adopté un système de type Bismarckienontleplus de mal a s'adapté.

bibliographie: GUILLEMARD, Anne-Marie. "Protection sociale : où va-t-on ?" Les Grand Dossiers des Sciences Humaines, Mars-avril-mai 2010, numéro 18, page 30-31 (archives)

V.B

 


Titre dossier : "Pauvreté comment faire face ?"

Titre de l'article : "La réponse politique"

Edition : Sciences Humaines

Date : Mars 2009

Critique :

C'est un dossier sur la pauvreté. L'article "La réponse politique" a été écrit par Molénat Xavier qui est un journaliste scientifique. C'est donc un article fiable écrit par un professionnel.

Résumé

Les Français ont très peur de tomberunjourdans l'exclusion ou la pauvreté par rapport aux Européen, même si la pauvreté à plus tendance à stagné, les pauvres sont de plus en plus nombreux, de plus en plus pauvre et se rapproche du salariat. Pas parce que le SMIC est trop faible, mais l'emploi est à temps incomplet, il alterne avec le chômage ou il est trop partiel. L'Etat encourage la création d'emploi avec des réductions d'impôts et de cotisations sociales pour les employeurs qui développe des emplois à temps partiel.

Les emplois aidés pour le recrutement des salariés aux caractéristiques particulières : jeunes sans qualification, chômeurs longues durée... Ce qui a réduit temporarementle chômage, mais faute de formation et d'accompagnement, cela n'a pas servi de "tremplin vers un véritable emploi". Les allégements de cotisations sociales sur les bas salaires ont réduit la sélectivité du marché du travail et créerdesemploispour les moins qualifié, même si l'on n'est pas d'accord sur la quantité d'emploi créer. Cela incite cependant les employeur à ne pas augmenter les salaires et de maintenir des emplois qui devrait disparaitre. Les 35 heures ont créé des emplois mais pénalise les bas salaires et augmente la sélectivité des embauches.

Ces mesures très couteusesonteu des résultat très mitigés. Et le RSA? La dernière innovation montre qu'il existe des situations ou les bénéficiaires des minima sociaux perdent des revenus lors de la reprise d'une activité. Le RSA garantit donc au bénéficiaires de garder une faction des aides lorsque la personne travaille. Le RSA n'est pas contesté dans son principe, mais au-delà, les débat et les critiques sont nombreux, notamment si le RSA est plus interresantfinancièrement que le RMI, notamment que le RSA pourrait encouragerà multiplier les emplois précaires et ne pas augmenter les salaires.

Le RSA incite-il les pauvres à travailler? Economistes et sociologues soulignent que beaucoup de RMIstescherchentunemploi alors que rien ne les oblige, alors est-ce qu'il permet du lutter plus globalement contre la pauvreté? Dans ce cas, la selectivité des personnes conserné (pas les retraité, moins de 25 ans, les handicapés...) et la faibessedesmoyenalloués de donne pas de sens à cette objectif. Si les pauvres ne travaille pas, c'est d'abors à cauused'une qualification insuffisante ou obsolète ainsi que les problèmes qu'ils rencontres, santé, transport, garde des enfants, ou un inccompagnement insuffisant dans l'emploi. Le RSA ne résout pas tous "ne pas le faire ne résout rein". Martin Hirsh souligne que des politiques pour résoudre ses problèmes font parti des objectifs. Il est aussi en faveur d'une mise sous conditions des allégements de charge pour les employeurs pour réduire le temps partiel.

Bibliographie: XAVIER, Molénat. Pauvreté comment faire face ? La réponse politique Dossier Sciences Humaines, Mars 2009, numéro 202.

V.B


Titre : Le système Français des minima sociaux

Date : 24 Décembre 2008

Edition : Problèmes économiques

Critique du document :

C'est un article rédigé par Emmanuelle Nauze-Fichet, une économiste du ministère de l'Emploi, de la Cohésion Sociale et du Logement, qui l'a édité dans la revue " la Documentation Française ".

L'article est paru dans la revue de renommée " Problèmes Economiques ", et explique le rôle de chaque aide sociale, sa date de création, ses bénéficiaires mais il montre également leurs limites, se qui constitue un frein à leur sortie dans la société. C'est bien là l'intérêt car les minima sociaux sont toujours sujets aux débats et aux interrogations par rapport à son utilisation. Ce document retrace de 1956 à 2009 les différentes aides sociales créées (RSA, RMI, API, ect ...), leurs rôles au sein de la société, leurs causes et leurs conséquences.

Résumé du document :

Les minima sociaux sont des prestations sociales accordées aux individus qui perçoivent de très faibles revenus afin de leur permettre ainsi d'atteindre un revenu minimum. Ce système est l'un des plus complexes en France. En effet, depuis un demi-siècle,  plus d'une dizaine d'aides sociales ont vu le jour en France, ce qui a permis de venir en aide aux personnes en difficulté.

Néanmoins, ces aides sociales ont provoqué un grand changement, ce qui a fait apparaître de nombreuses limites, les  remettants régulièrement en question.

Pour consulter cet article au CDI: NAUZE-FICHET, Emmanuelle. Le système français des minima sociaux. Problèmes économiques, 24 Décembre 2008, p14-20.

H.R

 

30 janvier 2011

Délimiter le sujet et recherche doc (9/12/2010)

1) Délimité le sujet

Brainstorming :

Protection sociale - aide à la personne - subventions - RMI / RSA - prestations sociales - allocation universelle - allocation personnalisée d'autonomie (APA) - chômage - travail - ASSEDIC - assurance - indemnités - action sociale - sécurité - aides sociales.

Méthodes des 3QOCP :

Qui ? Les Français recevant des aides sociales pour diminuer la pauvreté, le RSA, les allocations chômages... On ne parle pas des aides pour l'autonomie des personnes handicapés, âgés, ou pour les enfants.

Quoi ? Toutes les allocations distribué par l'état pour l'insertion.

Quand ?  Aujourd'hui

Où ? En France

Comment ? Comment les aides permettent le retour à l'emploi ?  Comment augmente-il les revenus ?

2) Documents (un article de presse papier et un article internet)

TROUVELOT, Sandrine. Quand le chômage rapporte plus que le travail. Capital, 06/2005, 165, 88-90

La Gazette Santé Sociale [en ligne]. 05/11/2010 [consulté le 09/12/2010]. Disponible sur : http://www.gazette-sante-social.frwww.gazette-sante-social.fr/actualite/actualite-generaleactualite-generale-3-3milions-de-prestations-d-aide-sociale-versees-par-les-departementsmilions-de-prestations-d-aide-sociale-versees-par-les-departements-21427.html

Observatoire des inégalités [en ligne]. 28 sept 2010. [date de consultation : 09/12/2010]. La pauvreté en France. Disponible sur : http://www.inegalites.frwww.inegalites.fr/spip.phpspip.php?article270

V.B, H.R

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Aides sociales des emplois : frein ou levier face à la pauvreté ?
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