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Aides sociales des emplois : frein ou levier face à la pauvreté ?
1 février 2011

Fiche document

Titre : " Le revenu de solidarité active, plus que jamais "
Édition : Problèmes économiques
Date
: Mercredi 24 Décembre 2008

Critique du document :

Cet article est fiable puisque c'est un document de référence, disponible pour tous. De plus, il est écrit par Martin Hirsch, le haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté, créateur du RSA, ce qui montre qu'il est davantage plus fiable.  Il répond aux questions, aux critiques qu'on avait avant son lancement en juillet 2009.

L'article est paru dans la revue " Problèmes Economiques " dont un des objectifs est de rendre compte des questions, des débats soulevés par l'actualité et qui concernent l'aide sociale : le RSA. C'est bien là tout l'intérêt de ce texte qui est divisé en plusieurs sous-parties (première critiques ..., deuxième critique ..., sixième critique ..., etc ...) afin de présenter l'aide sociale en terme générale, et de répondre aux critiques. L'article est un droit de réponse du site "La vie des idées", il n'est pas reproduit dans son intégralité.

Paru en 2008, cet article a encore tout intérêt puisque cette aide sociale a été mise en place il y a deux ans et est toujours d'actualité.

Résumé du document :

Ce document est un article écrit par le créateur du RSA, Martin Hirsch. Il apporte six critiques vis à vis de cette aide sociale et apporte une réponse à ces 6 critiques :

Le RSA traiterait un probème inexistant, le fait que certain bénéficiaires perdent de l'argent n'est pas un problème car les bénéficiaires ont plus de difficulté avec la garde d'enfants, la mobilité avant la question financière pour trouver du travail, mais il n'est pas juste qu'une personne travaillant gagne moins qu'avec le RSA.

Le problème donc aussi l'accompagnement vers l'emploi, il y a un lien très distendu avec le service public de l'emploi qui doit être améliorer, ainsi que les formations professionnelles et enfin la garde d'enfant qui est essentielle.

Pour réduire le nombre de travailleur pauvre, mieux vaut augmenter les salaires que créer le RSA. Il faut bien entendu favoriser l'augmentation des salaires, mais ce n'est pas pour cela qu'il faut abandonné le RSA qui fonctionne comme le prime pour l'emploi (PPE), mais dont seulement la moitié de travailleur pauvre touche, ou les aides au logement où l'on va aussi tenté de baisser les loyers.

La crainte d'une augmentation du temps partiel est aussi soulignée, que les personnes les prennent pour avoir l'aide ou que les employés le développe car de toute manière les personnes sont aidés. Le RSA ne favorise pas directement le temps partiel, il est versé directement aux bénéficiaires. Le temps partiel doit être défavorisé avec d'autres mesures.

Le RSA serait une nouvelle relégation pour ceux qui ne veulent pas travailler, idée qui a été rejetée à l'unanimité par les acteurs du Grenelle de l'insertion. Les personnes gagnent plus avec le RSA lorqu'ils travaillent, ce qui les insistent à reprendre une activité. Le suivis des individus qui est saturé pourra mieux se faire et ils pourront aider les personnes qui ne sont pas suffisamment suivis.

Il vaut mieux augmenter le RMI. Ils préfèrent transformer le RMI en RSA ce qui permet de bien voir l'augmentation des ressources et facilité l'accès au travail. Contrairement à ce qu'on paut dire, le RSA n'a pas pour conséquence d'augmenter l'écart entre le minimum social et le salaire minimum. Le RSA est un chemin entre les deux pur pouvoir mieux augmenté les montants sans perdre de ressources.

Le RSA ne résout pas tous mais ne rien faire ne résout rien. Le problème est aussi le manque d'emploi et le sous-emploi. La politique allègent les charges pour développerl'offre du travail peu qualifierpour lequel le smic n'est pas rentable pour les entreprises. Cela a crée rentre 300 000 et 500 000 emploi pour 20 milliards d'Euros, significatif mais cher. Le RSA a le même effet, elle crée un écart entre le revenue réel et le coût pour les entreprises, il permet de distribuer d'avantage.

 Puis pour finir, cet article illustre le RSA par le biais de cinq convictions fortes, tous le monde peu être touché par la pauvreté, il ne faut plus distingué les pauvres indemnisé et les travailleurs que l'on incite à travaillé plus. L'augmentation du SMIC ne suffit pas face à l'augmentation de travailleurs pauvres. La sécurisation des parcouts professionel doit s'appuyer sur un changement des règles des contrats et amener de nouvelle formes d'incitation. Les salariés seront plus productif au travail que si on les laisserait en dehors du marché, même si ils ne produisent pas beaucoup de richesse.


Pour consulter cet article au CDI : HIRSCH, Martin. Le revenu de solidarité active. Problèmes économiques, 24 Décembre 2008, p3-9.

H.R et V.B

 


Titre : "La pauvreté en France".

Editeur : Observatoire des inégalités

Date : 28 septembre 2010

critique du document :

C'est un article du site Observatoire des inégalité. Il n'y a pas d'auteur mais il est repris du site de l'Insee, qui est fiable car c'est un Institut de recherche indépendant, qui a publié ces chiffres. L'article est neutre, il apporte les chiffre et les expliques, il est disponible pour tous. L'article est publié en septembre 2010, ce qui est récent. L'article est donc fiable.

Résumé du document :

La France compte entre 4,3 et 7,8 millions de pauvres selon la définition adoptée, soit le seuil à 50 %, en 2008, le seuil de pauvreté pour une personne seule est de 791 euros mensuels, soit le seuil de 60 % du niveau de vie médian, ce qui représente 949 euros mensuels. Depuis la fin des années 1990, la baisse de la pauvreté est interrompue. Le taux de pauvreté va de 7,1 à 13,2%.

Observatoire des inégalités [en ligne]. 28 sept 2010. [date de consultation : 09/12/2010]. La pauvreté en France. Disponible sur : http://www.inegalites.fr/spip.php?article270

V.B

 


Titre : "Pour ou contre le RSA ? Serge Paugam sociologue Directeur d’études à l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociale."

Edition : C.I. conseil

Date : ? dernières brèves d'actualité

Critique du document :

L'article est un entretient avec Serge Paugam, qui est sociologue Directeur d'études à l'École des Hautes Études en Sciences. C'est donc un professionnel qui travaille sur le thème. Il répond a trois question sur l'efficassité du RSA. Il donne son avis, étant un professionel il peut être fiable mais les arguments doivent être approfondi. De plus l'article n'est pas daté, on ne sait donc pas si l'entretient c'est effectuer avant ou après la mise en place du RSA.

Résumé du document:

Le RSA est-il, selon vous, vraiment efficace pour ramenerversl'emploi des bénéficiaires de minima sociaux ? Il n'y a pas d'effet significatif sur le retour à l'emploi mais il n'y a pas de raison à être opposé "à toute politique d’activation des dépenses sociales." Il y a deux approches possibles, soit on accompagne les personnes pour une formation vers un emploi de qualité, soit on les incites financièrement pour qu'ils entrent dans tous types d'empoi, ce qui pourrais institutionnalisé les emploi à temps partiel et les CDD.

Les complément de ressources apporté aux travailleurs à bas salaire peut-il les soustraires à la pauvreté ? Il permettra de rester au dessus du seuil de pauvreté, mais ils serront nombreux à rester dans "précarité et le sous-emploi". Il resteront donc dépendant des aides.

Les allocataires de minima sociaux sans activité devront effectuer des démarches pour revenir sur le marché du travail ou améliorer leur insertion sociale. Qu'en pensez-vous? Les exigences par rapport au RMI où cela existait déjà sont renforcé mais encore faut-il avoir les moyens humains et opportunité d"emploi.

 Pour ou contre le RSA ? Serge Paugam sociologue Directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociale. ciconseil.fr [en ligne] [consulté le 12/02/2011].Disponible sur : http://www.ciconseil.fr/pour-ou-contre-le-rsa-3

V.B

 


Titre : " Le revenu de solidarité active entre en vigueur "

Édition : Ouest-France

Date : 01/06/09

Critique du document :

Ce document est tiré d'un journal fiable, le Ouest-France et écrit par VERCELLETO François, un journaliste. Il est d'autant plus fiable par la présence d'un schéma indiquant le revenu de solidarité active (RMI). A première vue, il est structuré et est basé sur le type "questions-réponses".

Résumé du document :

Ce document est un article du Ouest-France. Il parle du renouvellement du RMI qui a été effectué le 1er Juin 2009 et montre les nouvelles caractéristiques de cette nouvelle aide sociale ( les bénéficiaires, comment elle fonctionne, quelles sont les démarches, les dispositifs concernés, le coût, les objectifs du RSA, etc ...).

Pour consulter cet article (archive au CDI) : VERCELLETO, François. Le revenu de solidarité active entre en vigueur. Ouest-France, 01/06/09, p 4.

H.R

 


Titre : "Protection sociale : où va-t-on?"

Edition : Les Grands Dossiers des Sciences Humaines

Date : Mars-Avril-Mai 2010

Critique du document :

C'est un article des Sciences Humaines, qui est fiable. L'auteur est Anne-Marie Guillemard, c'est un professeur de sociologie à l'université Paris-V. Elle a récemment dirigé l'ouvrave "Où va la protection sociale ?", en 2008. Elle connais donc le sujet et son article est plutôt neutre.

Résumé du document :

Les Français ont un fort sentiment d'insécurité sociale, en 2006, 86% pensent qu'il peut arriver à n'importe qui de tomber dans la pauvreté, contre 62% en moyenne en Europe, et 13% pensent qu'il peuvent devenir un jour sans abris, contre 8% des Britanniques, 1 ou 2% des Danois, Néerlandais, Allemand.

Va-t-on vers une conception de type libéral ou assiste-t-on à une transformation de la protection sociale pour s'adapté ? Les réformes vont vers une protection de plus en plus libéral, mais reste généreuse avec des dépenses supérieure de 4 points à la moyenne Européenne. (31.2% du PIB contre 27.3%) Il y a un certain désengagement de l'Etat notamment pour la santé avec le déremboursement de certain médicament et l'importance accordé par les assurances complémentaires, mais les politiques d'assistances et les minima sociaux ont pris une nouvelle importance.

Les systèmes de protection sociale ont été bâtis après guerre afin de dynamiser la croissance économique et le plein emploi dans une société largement industrielle. A partir des années 70, les dépenses sociales ont commencer à augmenteràunrythme supérieur à la croissance ralentie. Cette "crise de l'Etat providence" a lancé des interrogations sur la légitimité des dépenses sociales et l'efficacitédu rôle de l'Etat dans la redistribution des ressources. Le système de protection sociale s'est donc transformé en 1990 avec des réformes. Maintenant, la société vieillit et que les condition du salariat se transforme. Avant en 3 temps, éducation pour la jeunesse, le travail continu à l'âge continu et la retraite pour la vieillesse, il y a maintenant toute sorte de statu (CDD, intérim, ...) qui ont des formes plus instable, souvent précaire, et l'emploi est entrecoupé de période de formation et d'inactivité choisi (congés parentales,...) ou non (chômage). Les pays ayant adopté un système de type Bismarckienontleplus de mal a s'adapté.

bibliographie: GUILLEMARD, Anne-Marie. "Protection sociale : où va-t-on ?" Les Grand Dossiers des Sciences Humaines, Mars-avril-mai 2010, numéro 18, page 30-31 (archives)

V.B

 


Titre dossier : "Pauvreté comment faire face ?"

Titre de l'article : "La réponse politique"

Edition : Sciences Humaines

Date : Mars 2009

Critique :

C'est un dossier sur la pauvreté. L'article "La réponse politique" a été écrit par Molénat Xavier qui est un journaliste scientifique. C'est donc un article fiable écrit par un professionnel.

Résumé

Les Français ont très peur de tomberunjourdans l'exclusion ou la pauvreté par rapport aux Européen, même si la pauvreté à plus tendance à stagné, les pauvres sont de plus en plus nombreux, de plus en plus pauvre et se rapproche du salariat. Pas parce que le SMIC est trop faible, mais l'emploi est à temps incomplet, il alterne avec le chômage ou il est trop partiel. L'Etat encourage la création d'emploi avec des réductions d'impôts et de cotisations sociales pour les employeurs qui développe des emplois à temps partiel.

Les emplois aidés pour le recrutement des salariés aux caractéristiques particulières : jeunes sans qualification, chômeurs longues durée... Ce qui a réduit temporarementle chômage, mais faute de formation et d'accompagnement, cela n'a pas servi de "tremplin vers un véritable emploi". Les allégements de cotisations sociales sur les bas salaires ont réduit la sélectivité du marché du travail et créerdesemploispour les moins qualifié, même si l'on n'est pas d'accord sur la quantité d'emploi créer. Cela incite cependant les employeur à ne pas augmenter les salaires et de maintenir des emplois qui devrait disparaitre. Les 35 heures ont créé des emplois mais pénalise les bas salaires et augmente la sélectivité des embauches.

Ces mesures très couteusesonteu des résultat très mitigés. Et le RSA? La dernière innovation montre qu'il existe des situations ou les bénéficiaires des minima sociaux perdent des revenus lors de la reprise d'une activité. Le RSA garantit donc au bénéficiaires de garder une faction des aides lorsque la personne travaille. Le RSA n'est pas contesté dans son principe, mais au-delà, les débat et les critiques sont nombreux, notamment si le RSA est plus interresantfinancièrement que le RMI, notamment que le RSA pourrait encouragerà multiplier les emplois précaires et ne pas augmenter les salaires.

Le RSA incite-il les pauvres à travailler? Economistes et sociologues soulignent que beaucoup de RMIstescherchentunemploi alors que rien ne les oblige, alors est-ce qu'il permet du lutter plus globalement contre la pauvreté? Dans ce cas, la selectivité des personnes conserné (pas les retraité, moins de 25 ans, les handicapés...) et la faibessedesmoyenalloués de donne pas de sens à cette objectif. Si les pauvres ne travaille pas, c'est d'abors à cauused'une qualification insuffisante ou obsolète ainsi que les problèmes qu'ils rencontres, santé, transport, garde des enfants, ou un inccompagnement insuffisant dans l'emploi. Le RSA ne résout pas tous "ne pas le faire ne résout rein". Martin Hirsh souligne que des politiques pour résoudre ses problèmes font parti des objectifs. Il est aussi en faveur d'une mise sous conditions des allégements de charge pour les employeurs pour réduire le temps partiel.

Bibliographie: XAVIER, Molénat. Pauvreté comment faire face ? La réponse politique Dossier Sciences Humaines, Mars 2009, numéro 202.

V.B


Titre : Le système Français des minima sociaux

Date : 24 Décembre 2008

Edition : Problèmes économiques

Critique du document :

C'est un article rédigé par Emmanuelle Nauze-Fichet, une économiste du ministère de l'Emploi, de la Cohésion Sociale et du Logement, qui l'a édité dans la revue " la Documentation Française ".

L'article est paru dans la revue de renommée " Problèmes Economiques ", et explique le rôle de chaque aide sociale, sa date de création, ses bénéficiaires mais il montre également leurs limites, se qui constitue un frein à leur sortie dans la société. C'est bien là l'intérêt car les minima sociaux sont toujours sujets aux débats et aux interrogations par rapport à son utilisation. Ce document retrace de 1956 à 2009 les différentes aides sociales créées (RSA, RMI, API, ect ...), leurs rôles au sein de la société, leurs causes et leurs conséquences.

Résumé du document :

Les minima sociaux sont des prestations sociales accordées aux individus qui perçoivent de très faibles revenus afin de leur permettre ainsi d'atteindre un revenu minimum. Ce système est l'un des plus complexes en France. En effet, depuis un demi-siècle,  plus d'une dizaine d'aides sociales ont vu le jour en France, ce qui a permis de venir en aide aux personnes en difficulté.

Néanmoins, ces aides sociales ont provoqué un grand changement, ce qui a fait apparaître de nombreuses limites, les  remettants régulièrement en question.

Pour consulter cet article au CDI: NAUZE-FICHET, Emmanuelle. Le système français des minima sociaux. Problèmes économiques, 24 Décembre 2008, p14-20.

H.R

 

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